Sarah Saldmann, avocate parisienne de 32 ans, s’est imposée comme une figure incontournable du paysage médiatique français. Son franc-parler et ses prises de position tranchées sur des sujets sociétaux sensibles ont fait d’elle une personnalité aussi admirée que controversée. Ses apparitions régulières sur les plateaux télévisés et ses déclarations provocantes ont suscité de vifs débats, alimentant sa notoriété grandissante. Nous vous proposons un portrait complet de cette femme qui ne laisse personne indifférent, de ses origines à sa fortune estimée, en passant par sa vie privée et son parcours professionnel atypique.
Qui est Sarah Saldmann ?
Née le 18 août 1991 à Paris, Sarah Saldmann a suivi un parcours académique brillant. Titulaire d’une maîtrise en droit de l’université Panthéon-Sorbonne, elle a réussi l’examen d’admission au Centre Régional de Formation Professionnelle des Avocats (CRFPA) à l’université Paris 2 Panthéon-Assas. Son inscription au barreau de Paris date du 8 novembre 2018, marquant le début officiel de sa carrière d’avocate.
Rapidement, Sarah Saldmann s’est démarquée par son ambition et son désir d’indépendance. Après de brèves collaborations avec des avocats renommés comme Olivier Pardo et Patrick Klugman, elle a pris la décision audacieuse de fonder son propre cabinet. Cette volonté d’autonomie et son refus du lien de subordination ont façonné sa trajectoire professionnelle unique.
Les origines de la célèbre avocate
Les racines de Sarah Saldmann plongent dans un riche héritage familial. D’origine française, elle est la descendante d’arrière-grands-parents polonais qui ont immigré en France. Cette histoire familiale a sans doute influencé sa vision du monde et sa détermination à réussir.
L’impact de ses origines sur sa carrière se manifeste dans sa capacité à naviguer entre différents milieux et à s’adapter à des situations variées. Son parcours illustre une forme de résilience et d’ambition, caractéristiques souvent associées aux descendants d’immigrés ayant réussi à s’intégrer et à prospérer dans leur pays d’accueil.
La famille Saldmann : un père médiatique
Frédéric Saldmann, le père de Sarah, est une figure bien connue du grand public. Médecin cardiologue, nutritionniste et chef d’entreprise, il s’est fait un nom grâce à ses nombreux ouvrages sur la santé et l’hygiène alimentaire. Ses interventions médiatiques régulières ont contribué à sa notoriété et ont sans doute influencé la trajectoire de sa fille.
Les similitudes entre les parcours de Sarah et de son père sont frappantes : tous deux ont su capitaliser sur leur expertise professionnelle pour développer une présence médiatique forte. Cependant, là où Frédéric Saldmann se concentre sur la vulgarisation scientifique et les conseils de santé, Sarah a choisi la voie du droit et des débats sociétaux, souvent plus polémiques. Cette différence d’approche montre comment chacun a su se créer une niche distincte dans le paysage médiatique français.
La vie privée de l’avocate parisienne
Sarah Saldmann maintient une certaine discrétion sur sa vie personnelle, mais quelques éléments sont connus du public. Lors d’une interview avec Jordan De Luxe, elle a révélé ses préférences en matière de relations amoureuses, déclarant : Je ne sors pas avec des hommes de mon âge, donc peut-être que ça facilite. J’ai 31 ans, en dessous de 50 ans, je ne regarde pas. Je ne peux pas.
Cette préférence pour des partenaires plus âgés a suscité l’intérêt des médias et du public. Sarah Saldmann a même mentionné avoir déjà eu une relation avec une différence d’âge de 36 ans. Malgré ces révélations, elle reste discrète sur l’identité de ses partenaires et les détails de sa vie sentimentale actuelle, préférant garder une partie de sa vie privée à l’abri des regards indiscrets.
Parcours professionnel et médiatique

La carrière de Sarah Saldmann a connu une ascension fulgurante depuis son inscription au barreau de Paris. Elle s’est rapidement fait remarquer en prenant en charge des affaires médiatisées, notamment contre le groupe Tesla et les groupes d’EHPAD Orpea et Korian. Ces dossiers d’envergure ont propulsé sa notoriété et démontré ses compétences juridiques.
Parallèlement à sa carrière d’avocate, Sarah Saldmann a développé une présence médiatique importante. Elle est devenue chroniqueuse régulière dans l’émission Les Grandes Gueules
sur RMC depuis 2022. Ses interventions sur des chaînes comme BFM Business, CNews et C8, notamment dans l’émission Touche pas à mon poste
, ont contribué à accroître sa visibilité. Son style direct et ses opinions tranchées ont fait d’elle une invitée recherchée des plateaux télévisés, où elle n’hésite pas à aborder des sujets controversés.
Les revenus de la chroniqueuse controversée
La question des revenus de Sarah Saldmann est un sujet de curiosité et de spéculation. L’avocate se montre réticente à divulguer des chiffres précis concernant son salaire, ce qui alimente les discussions sur ses sources de revenus. Ses activités professionnelles diversifiées laissent supposer des revenus conséquents provenant de plusieurs sources.
Son cabinet d’avocat, spécialisé dans les affaires médiatisées, constitue probablement une source de revenus importante. Ses interventions médiatiques régulières en tant que chroniqueuse et invitée sur diverses chaînes de télévision contribuent sans doute de manière significative à ses revenus. De plus, Sarah Saldmann est auteure de plusieurs livres, dont Tout pour se défendre ! Mes droits, mode d’emploi
et Se protéger, c’est gagner – L’indispensable manuel de self-défense (et survie) juridique
, publiés aux éditions Robert Laffont. Les droits d’auteur de ces ouvrages représentent une source de revenus supplémentaire.
La fortune estimée de l’avocate médiatique
Estimer la fortune de Sarah Saldmann avec précision s’avère difficile en l’absence de déclarations officielles. Cependant, ses multiples activités professionnelles et sa notoriété croissante suggèrent des revenus confortables. Lors d’une émission télévisée, elle a déclaré qu’on n’est pas riche à 7.000 euros par mois
, laissant entendre que ses propres revenus pourraient être supérieurs à ce montant.
Cette déclaration a suscité des réactions contrastées, certains la jugeant déconnectée de la réalité économique de la majorité des Français. Il convient de noter que l’Observatoire des inégalités situe le seuil de richesse
à 3.673 € nets par mois après impôts pour une personne seule. Les propos de Sarah Saldmann sur la richesse et les revenus ont alimenté les débats sur les inégalités économiques et la perception de la richesse dans la société française.
L’impact médiatique et les polémiques
Les interventions médiatiques de Sarah Saldmann ont souvent été source de controverses. Ses déclarations sur les arrêts maladie, qualifiant certaines personnes de glandus, assistés et feignasses
, ont provoqué un tollé. De même, ses propos sur l’écologie (Je me fous complètement de l’écologie
) et sur les revenus (On n’est pas riche à 7.000 euros par mois
) ont été largement critiqués et débattus.
Ces polémiques ont contribué à accroître sa notoriété, faisant d’elle une figure clivante du paysage médiatique français. Son style provocateur et ses opinions tranchées lui ont valu le surnom de Nabilla du barreau
par certains médias. Malgré les critiques, Sarah Saldmann maintient ses positions et continue d’être sollicitée par les médias, preuve de l’intérêt qu’elle suscite auprès du public.
Les projets et l’avenir de Sarah Saldmann
Sarah Saldmann ne semble pas prête à ralentir son rythme. Elle a exprimé son intention de continuer à exercer en tant qu’avocate, affirmant que la télévision reste une activité secondaire pour elle. Ses projets incluent la publication régulière de livres, avec l’ambition d’en sortir un tous les deux ans.
Sur le plan professionnel, elle a mentionné son intérêt pour les problématiques liées aux crèches, suggérant de possibles actions juridiques dans ce domaine. Sa participation au documentaire Au boulot !
de François Ruffin, où elle a été confrontée à la réalité du travail au SMIC, pourrait influencer ses futures prises de position et son image publique.
L’avenir de Sarah Saldmann s’annonce riche en défis et en opportunités. Sa capacité à susciter le débat et à attirer l’attention médiatique laisse présager une présence continue dans les médias français. L’évolution de son image publique dépendra de sa capacité à équilibrer ses activités d’avocate, ses interventions médiatiques et ses prises de position sur des sujets sensibles. Quoi qu’il en soit, Sarah Saldmann restera sans doute une figure incontournable et controversée du paysage médiatique français dans les années à venir.